Spécial Ecole
Merci de lire jusqu'à la fin de l'article, car notre action à tout de même fait bouger les choses !
Le traitement du problème camping aurait dû suffire à faire comprendre à chacun le type de gestion, ou plutôt, de non-gestion du Maire actuel.
Origine des photos protégé par l'Article 48 du Code électoral portant sur l'application de la loi du 29 juillet 1881(ref Art2) !
Voici donc l'état du sous-sol tel que le Maire en a eu connaissance bien avant la manisfestation des parents d'élèves. Rapidement il a fait mettre en place des étais ; il faut cependant attendre de longs mois qu'une manifestation réveille le Maire pour qu'enfin il décide d'agir avec de vrais travaux. Mais ceux qui suivent les articles de ce site ou qui ont lu la lettre N°1 savent que l'urgence pour Mr Mayau est d'une temporalité d'au moins 2 ans.
Tout ceci est élémentaire, c'est marqué dessus !


Les travaux sont donc réalisés durant l'été 2013 pour la somme de plus de 260 000 €, une belle dépense qui aurait dû mettre à l'abri les enfants.
Comme il faut faire taire les parents, on se presse et surtout on n'oublie pas de communiquer. Rappelez-vous cette belle photographie publiée dans un journal quotidien, reprise sur le Canal Pontilabien montrant le camion venant injecter les billes d'argile et la résine sous les planchers. Malheureusement, les reprises sur façade figuraient dans les travaux annexes du marché traitant de la sécurisation des planchers et, malgré l'intervention du premier adjoint, elles n'ont été que partiellement traitées. Lors du Conseil Municipal d'août 2013, M. Patrice Mathieu "regrettait que sa demande de traiter les enduits de la totalité de la façade principale de l'école n'ait pas été prise en compte : on aurait dû profiter de la présence de l'entreprise et de ses échafaudages" ... (voir procès verbal de ce Conseil Municipal). Il paraissait évident qu'il fallait traiter toute la façade !
Malheureusement, comme pour lui donner raison, le couperet du temps vient de tomber, avec le reste de la façade ... Et heureusement sans blesser personne !
En ce qui concerne la résine employée j'ose croire que notre Maire a bien fait vérifier qu'elle était parfaitement sans danger pour les poumons de nos enfants ...
Mais ce n'est pas tout car entre temps, un "incident" est venu perturber la quiétude des enfants en octobre, sous la forme d'un départ de feu au tableau électrique. Le maire, son adjoint travaux et son directeur général des services ont-ils oublié que le matériel électrique nécessitait de fréquents contrôles pour palier leur vieillissement. C'est une mère qui m'a averti des faits. Ce qui est surprenant, c'est que personne n'a entendu les pompiers et pour cause, le Maire a dû juger l'inutilité de leur venue pour vérifier si le feu n'avait pas touché les cables dans les gaines électriques. Peut-on continuer longtemps à jouer avec la sécurité ?
Ci-dessous le mot inséré dans le cahier de correspondance !
Au delà du vocabulaire, où "problème électrique" ( ne pas regarder la faute sur le papier remis aux parents) signifie "départ de feu d'origine électrique", il faut savoir que c'est la fumée qui a alerté le personnel qui a très bien géré l'incident. Oui vous avez bien lu, "la fumée qui a alerté" pas l'alarme ! Ce qui devrait poser des questions aux responsables ... ou suis-je le seul à m'en poser ?
Quant à la façade évoquée précédemment, le cache misère mis en oeuvre n'a pas duré longtemps, le temps pour le Maire de crier haut et fort qu'il avait agi avec certes énormément de retard, mais agi quand même. Que va-t-il nous dire maintenant ? ... Qu'il faut attendre le résultat des élections ? ... et en attendant, mettre des barrières ? Car vous l'avez peut-être constaté, monsieur Mayau est le roi de l'utilisation de barrières en guise de travaux.
Barrières pour le camping, barrières pour les affaissements de trottoirs, étais en bois pour les halles (tiens, ce n'est pas vraiment une barrière ...).
Donc barrières pour sécuriser le passage le long du mur de l'école ...
Photographie ci-dessus et ci-dessous réalisées le lundi 10 février.
Un camping dont les problèmes dorment derrière des barrières !
Les halles aussi, mais ce ne sont pas réellement des barrières!

Oui de la belle barrière métallique comme pour solutionner les affaissements de trottoirs résidence du clos de l'Arnoult (dite "des miltaires")!
Si le stock de barrières n'est pas totalement épuisé, je propose que des barrières soient mises en places au niveau de l'Espace Honneur et Patrie !
Ou encore au lavoir :
Vous l'avez compris, l'équipe pour le Renouveau de Pont l'Abbé d'Arnoult souhaite des solutions plus pérennes. Nous travaillons pour mettre fin à toutes les situations qui dégénèrent simplement par inaction ou par de très malheureuses solutions mises en place sans aucune vision d'avenir ; et si le barrierage peut effectivement être une solution d'urgence pour la sécurité, il doit être immédiatement suivi d'une action réelle de traitement du problème.
La suite de l'histoire, le nettoyage a été fait très vite. Vu le danger, j'avais demandé au 1er Adjoint de prévenir. Mais pour ne pas me donner raison, et c'est très dommage : pas de barrière. J'invite, hors de toute controverse, le Maire à faire mettre en place des barrières pour empêcher qu'une personne se trouve sous la prochaine chute de plaques d'enduit, ce qui va arriver inévitablement. De plus, les enfants fréquentent le gymnase, et là aussi le danger menace par coupure, une vitre s'est brisée. Mais il n'a pas fait mettre de barrière, comme pour me donner tort, mais la solution est dangereuse. En attendant, le remplacement de la vitre une plaque de contreplaqué marine des deux côtés pourrait assurer la sécurité des enfants. Et comme cela vous n'auriez pas mis de barrière. Contraîrement à vous peu importe les attaques, la sécurité ne doit jamais être oubliée!


Suite à l'article du dimanche 2 mars
Flash sécurité école René Caillé ! et à cet article
Spécial Ecole de plusieurs semaines, sans oublier la transmission directe de l'information aux personnels de
la mairie, ce mercredi 5 mars les services techniques ont très bien travaillé pour sécuriser cette portion de mur de l'école René Caillé. Merci à eux! Je rajoute que le jeudi 6 une mise en peinture a été effectuée.
Je salue l'effort mais cette école reste un lieu qui doit être restauré de A à Z, sachant que nous avons aujourd'hui atteint le D par l'utilisation de la peinture.
Cette photographie est en date du 5 mars 2014.